Que Dieu vous bénisse !
Psaume 4 v 5
Eternel! le matin tu entends ma voix;
Le matin je me tourne vers toi, et je regarde.
Durant la période des fêtes, on peut apercevoir le
père Noël un peu partout dans le monde. À Québec, à Montréal, à New York, à Mexico, à Londres, à Paris ou même à Tokyo, ce bon gros bonhomme barbu émerveille petits et grands. Le père Noël a
autant d'admirateurs qu'il a un long vécu...
En 1897, la petite Virginia O'Hanlon envoie au New York Sun une lettre devenue célèbre dans laquelle elle écrit: «Cher directeur, certains de mes amis prétendent que
le père Noël n'existe pas. S'il vous plaît, dites-moi la vérité. Le père Noël existe-t-il?» Ému, le journaliste Francis Church lui répond dans les pages du journal: «Oui, Virginia, le père Noël
existe. Il existe aussi bien que l'amour, la générosité et le dévouement existent, et tu sais qu'ils abondent et qu'ils donnent à ta vie sa beauté et sa joie suprêmes. Hélas! comme le monde
serait lugubre si le père Noël n'existait pas! Il serait aussi lugubre que s'il n'existait aucune Virginia. Il n'y aurait alors plus de foi d'enfant, plus de poésie, plus de rêverie pour rendre
tolérable cette existence. Pas de père Noël! Dieu merci, il vit et il vivra pour l'éternité. Et dans mille ans, Virginia,... non, dans dix mille ans, il continuera de réjouir le coeur des
enfants.»
Mais il vient d'où le père Noël? Nombre d'entre nous n'en ont pas la moindre idée.
Plusieurs ignorent que l'arbre de Noël et le père Noël font partie des racines mêmes du monde occidental..
Grande fête chrétienne, Noël commémore la naissance de l'enfant Jésus. Ainsi, le mot «Noël» vient du latin natalis, qui signifie «nativité» ou «jour de la naissance». Mais avant même l'avènement
du christianisme, des fêtes romaines, germaniques ou celtiques marquent déjà le début de l'hiver partout en Europe.
Destiné à supplanter les célébrations et les rites païens, le calendrier des fêtes religieuses fait peu à peu son apparition à partir du IVe siècle. Les premières célébrations de la naissance de Jésus se situent donc à cette époque, période où le christianisme devient la religion du plus grand nombre. Finalement, c'est en l'an 354 que le pape Liberus instaure la Nativité et retient la date du 25 décembre.
On dit même que l'Église a introduit la figure des saints dans les coutumes païennes existantes – dont saint Nicolas, patron des enfants – dans le but de christianiser l'ancienne religion celtique et d'en éliminer les dieux païens. Cependant, le mythe de «l'homme de Noël», esprit de l'ancêtre et gardien des traditions, se révèle un des plus anciens et des plus tenaces de la société occidentale, bien qu'au fil des siècles et au gré des cultures, il se soit quelque peu transformé.
L'image tant aimée du père Noël moderne ne représente que la pointe de l'iceberg. Son origine et celle de l'arbre
de Noël remontent en fait à plusieurs milliers d'années, lorsque le personnage mythique aujourd'hui appelé père Noël ou Santa Claus était considéré comme l'esprit de l'ancêtre venant rendre
visite à ses descendants.
Nicolas de Myre (270-310) aurait été évêque en Asie Mineure (la Turquie actuelle) au IVe siècle et serait décédé un 6 décembre. Saint Nicolas était vénéré non seulement à titre de patron des
enfants, mais aussi comme celui des marins, des marchands, des voleurs et des prostituées. On lui prête des actions charitables, dont le don d'une dot à deux jeunes filles pauvres, et même des
miracles. On lui attribue notamment la résurrection de deux enfants qui auraient été massacrés et conservés dans la saumure par un méchant boucher. Mais c'est à partir du XVe siècle que, sur les
bords du Rhin, saint Nicolas commence à passer dans les maisons, la veille du 6 décembre, pour récompenser les enfants sages en leur offrant pommes et noix en échange de prières.
À la fin du XVIe siècle, alors que la coutume du saint distributeur de cadeaux se répand dans de nombreuses
régions d'Europe, le protestantisme apparaît en Allemagne. À Strasbourg, en Alsace, saint Nicolas, considéré comme trop papiste, est violemment critiqué. Après la Réforme protestante, la
Saint-Nicolas est donc abolie dans plusieurs pays européens et, pour l'éducation des enfants, on lui substitue l'enfant Jésus, déplaçant la date de distribution des cadeaux du 6 au 25 décembre.
Toutes les régions protestantes d'Europe emboîtent le pas, alors que resurgissent peu à peu dans les mémoires collectives les anciennes fêtes de l'hiver. On voit ainsi réapparaître les fées ainsi
que le bonhomme Noël. En Hollande, et dans plusieurs autres pays européens, le personnage de saint Nicolas demeure cependant très estimé. Il apparaît comme un digne vieillard de haute stature,
avec une longue barbe et des cheveux blancs, vêtu de la cape, de la mitre et de la houlette de l'évêque. Il a apparemment tout du saint catholique, mis à part sa curieuse habitude de voler dans
le ciel, assis sur son âne et suivi de son valet noir... Personnage plutôt moralisateur, le Sinterklaas hollandais dépose des présents dans les souliers des enfants sages, tandis que les enfants
désobéissants sont punis par Zwarte Piet, le valet.
Vers 1778, les protestants du nord de l'Allemagne, les landgraves, font resurgir des tréfonds du passé «l'homme de Noël», en allemand weihnachtsmann, portant lui aussi une longue barbe et un
grand manteau de fourrure. Il incarne, dans les rites anciens, l'esprit de l'ancêtre venant rendre visite aux vivants au moment du solstice d'hiver. La légende raconte que le weihnachtsmann passe
toute l'année au coeur d'une montagne, parmi le «petit peuple» dont il fait partie. Chaque nuit, un petit homme, sorte de nain ou de gnome, monte la garde à l'entrée de la grotte dans laquelle se
situe le palais. Au bout de 360 nuits, le weihnachtsmann et ses lutins sortent de leur retraite. Ils vont dans la forêt armés de haches afin de couper des sapins destinés à la fête, qu'ils
décorent ensuite de bougies, de pommes d'or, de noix et de bonbons. La nuit de Noël venue, le bonhomme parcourt en traîneau les villages environnants pour vérifier si les enfants sont sages. Si
oui, il laisse un magnifique sapin couvert d'étrennes.
Au début du XVIIe siècle, en 1626 plus précisément, un navire rempli de colons venant des Pays-Bas touche les
terres d'Amérique. Ceux-ci sont venus pour fonder la colonie hollandaise de la Nouvelle-Amsterdam. On dit que la figure de proue de leur navire est saint Nicolas, également patron des marins.
Quelques décennies plus tard, la coutume néerlandaise de fêter la Saint-Nicolas s'étend un peu partout aux États-Unis. En 1664, la colonie est cédée à l'Angleterre et devient la Nouvelle York
(New York). Pour les Américains, le Sinterklaas hollandais devient rapidement Santa Claus. Un siècle et demi plus tard, Clement Clark Moore, un professeur de théologie, réintroduit le vieux
Sinterklaas hollandais dans un poème où il le décrit comme une sorte d'elfe, le métissant avec le weihnachtsmann allemand. En 1860, Thomas Nast, célèbre caricaturiste à l'emploi du journal
new-yorkais Harper's Illustrated Weekly, illustre le poème de Moore. N'ayant pas la moindre idée de ce à quoi peut bien ressembler l'elfe de Moore, Nast, natif de la Bavière, représente Santa
Claus sous la forme d'une figure pittoresque de son enfance dont il a gardé le souvenir, c'est-à-dire un personnage hivernal des villages de montagnes des Alpes bavaroises; une sorte de petit
bonhomme plutôt effrayant, vêtu de fourrure et fumant la pipe. Pendant près de 30 ans, il illustre au moyen de centaines de dessins tous les aspects de la légende de Santa Claus, connu chez les
francophones comme le père Noël. En 1885, Nast établit la résidence officielle du père Noël au pôle Nord, au moyen d'un dessin illustrant deux enfants regardant, sur une carte du monde, le tracé
de son parcours depuis le pôle Nord jusqu'aux États-Unis.
Bien que plusieurs d'entre nous l'ignorent, c'est cependant à la compagnie Coca-Cola que nous devons l'image que nous nous faisons aujourd'hui du père Noël. Au fil
des ans, le Santa Claus de Nast s'était fait plus amical et, en 1931, la compagnie Coca- Cola, désireuse d'étendre son marché aux enfants, décide d'utiliser le personnage de Santa Claus comme
soutien à sa publicité. L'artiste Haddon Sundblom est désigné pour créer un nouveau père Noël plus commercial. Ainsi, au lieu de l'elfe de Moore ou du gnome grincheux de Nast, Sundblom imagine le
joufflu et jovial personnage que nous connaissons aujourd'hui, dans un costume rouge rehaussé de fourrure blanche – le rouge et le blanc étant les couleurs de Coca-Cola. En 1941, ce père Noël
s'embarque pour la Seconde Guerre mondiale et fait la conquête du monde! Le dernier père Noël Coca-Cola apparaît en 1964. Aujourd'hui, il symbolise Noël pour plusieurs enfants qui, le 24
décembre, espèrent entendre les clochettes de ses rennes qui sillonnent le ciel...
Source: BlogDei
New Gospel family
Open the eyes of my heart
Aigues-Mortes
Élevée à l’emplacement de l’ancienne tour Matafère par Saint Louis, la Tour de Constance est construite en 1242 pour protéger le port et la cité. Elle est l’unique élément défensif d’Aigues-Mortes. Un pont dormant relie le châtelet à la tour qui est ceinte à l’origine d’un fossé annulaire. En 1249, on parle de la Tour du Roi. En 1254 au retour de la septième croisade, elle est terminée.
1717 La Tour de Constance est affectée à la détention des femmes Protestantes. Les premières
sont arrêtées dans une assemblée à Molières, prés d’Anduze.
On enferma là
les femmes, dont la plupart, s'étaient rendues coupables d'avoir assisté aux "Assemblées du Désert". On les gardait comme des"otages"pour effrayer les autres, dans cette prison
malsaine, obscure et glacée, entre des murs de six mètres d'épaisseur. On lit encore sur la pierre la devise qu'elles avaient gravée:
"RESISTER".
Marie DURAND est la plus connue de ces prisonnières. C'était la soeur du pasteurPierre DURANDqui mourut
martyr.
Entrée à Aigues-Mortes à 15 ans 1/2, en 1730, elle resta trente-huit ans dans la tour. Deux autres femmes y vécurent quarante et quarante et un
ans.
Son vieux père,
emprisonné, lui aussi pour sa foi, au fort de Brescou, lui écrivit la belle lettre que voici
:
Fort deBrescou (Cap d'Agde)
" Ma fille, l'auteur de la nature a permis que depuis toujours j'ai été dans des
épreuves, dans des souffrances et des persécutions de toutes parts et je vois qu'elles augmentent de degré en degré, mais remerciant Dieu, je me suis toujours consolé et mets ma confiance en Lui,
malgré tous mes malheurs jamais rien ne m'a manqué pour mon entretien et celui de ma famille. Ainsi, mon enfant, je vous écris quelques mots pour vous prier de ne vous chagriner en rien
mais que vous vous réjouissiez, au contraire, dans le Seigneur par des prières, des psaumes et des cantiques à toute heure et à tous moments et par ce moyen le Seigneur vous donnera la force et
le courage de supporter toutes les afflictions qui peuvent vous arriver et dire comme David: " Tant plus le mal il me vient tant plus de Dieu je me souviens ".
Il ne faut pas vous attrister de votre état car vous voyez que votre frère a tout quitté pour travailler à l'oeuvre du Seigneur et qu'il ne peut
point paraître en public et pourtant, je crois qu'il ne perd point courage, faites-en de même..."
Isabeau MENET était aussi l'une de ces figures très fortes.
Elle se maria avec Pierre FIALES et en 1735, le jeune couple assistait à une de ces
assemblées proscrites.... Isabeau, qui vient de mettre au monde son premier enfant, sera arrêtée avec son mari et l'enfant. Ils sont conduits à Pont-Saint-Esprit ; là c'est la
séparation ; le mari est condamné aux galères où il mourra et Isabeau à la Tour . A la Tour de Constance , elle rentre en 1737 et elle est aussitôt liée d'amitié avec Marie
DURAND. L'enfant va grandir dans le donjon ; il grandira avec une fille qui y restera jusqu'à seize ans. Le garçon et la fille ont grandi et joué dans ce donjon.
Les prisonnières étaient réduites au pain et à la paille. Dès 1730 la misère était grande à la Tour. Les familles leur venaient parfois en aide et Isabeau montre que sa famille ne la laissait pas
de côté. Son fils né en 1737, étant trop âgé pour qu'elle puisse désormais le garder auprès d'elle, Isabeau aura la dure épreuve de s'en séparer pour le confier à sa soeur. De plus, elle
aura la douleur d'apprendre la triste nouvelle que son mari est mort à la chaîne. L'intendant des galères écrira à la famille et renverra la montre du
galérien " pour que son fils la porte en pensant que son père est mort sur les galères en rendant honneur au nom qu'il
portait" .
La malheureuse femme deviendra folle dans la Tour et sera rendue à sa famille en 1749, après onze ans d'une si terrible réclusion.
Voici quelques extraits de lettres qu'Isabeau MENET écrivit à sa soeur réfugiée à Genève:
"... Je m'estime bienheureuse que le Seigneur m'ait appelée à souffrir opprobre pour son nom , puisque telle est sa
volonté. Dieu me fasse la grâce d'aller jusqu'au bout de la lice car je sais que Jésus-Christ nous y attend les bras ouverts.
" Qu'importe que nous soyons les haïs du monde, pourvu que nous soyons de son bon grain, son froment, car Il est notre origine et nous sommes le souffle de sa bouche. Allons à Lui
puisqu'il nous a promis qu'il nous aiderait en ce temps opportun. Soyons lui fidèles jusqu'à la mort, afin que nous puissions acquérir cette couronne d'immortalité bienheureuse.....
".... Toutes les menaces du monde ne seront pas capables de me faire abandonner le dépôt de la foi. J'espère que notre bon Père de miséricorde ne me déniera pas le secours
nécessaire, pour supporter les épreuves qu'il lui plaira de m'imposer...."
Et cet extrait de la belle lettre par laquelle elle confiera son enfant à sa soeur
:
"Je vous prie, ma chère soeur, au nom de Dieu, de vous souvenir de moi dans vos saintes prières, de même que mon cher enfant, lequel je vous donne,
que vous le regardiez comme votre cher enfant, pour le recommander à mes cher père et mère, qu'ils aient soin de son salut, afin de lui faire reconnaître que son cher père est
mort pour la profession de l'Evangile. Je me fie que vous en aurez le soin de le tirer devers vous comme vous m'avez promis ; car je peux dire après Dieu qu'il m'était d'une grande
consolation à mon entour, quoique jeune. J'espère que Dieu y pourvoira pour lui et moi, car il faut attendre tout d'en haut, puisque les hommes ne peuvent rien sans la divine Providence. Le
Seigneur soit apaisé envers nous et envers sa chère Eglise!.....".
Le Psaume de l'Assemblée
"La
mélodie des Psaumes nous attire, disait un chef Camisard . Nous volions, quand nous entendions le chant de ces divins cantiques ; nous sentions au-dedans de nous une
ardeur qui nous animait, un désir qui nous transportait. Cela ne se peut exprimer. Quelque grande que fut, quelquefois, notre lassitude, nous n'y pensions plus. Dès le moment que le chant
des Psaumes frappait nos oreilles, nous devenions légers. C'est une des choses merveilleuses qu'il faut avoir éprouvées pour les connaître".
Et c'est précisément cette ardeur, cette soif brûlante qu'exprimait admirablement le Psaume 42, que l'on a
appelé le plus beau de nos Psaumes:
Comme un cerf altéré brame
Après le courant des eaux,
Ainsi soupire mon
âme,
Seigneur, après tes ruisseaux.
Elle a soif du Dieu vivant,
Et s'écrie en le suivant :
Mon Dieu, Mon Dieu! quand sera-ce
Que mes yeux verront ta face?
Que la nuée des témoins inspire encore notre zèle, en nous souvenant
qu'ils osèrent braver les amendes, les cachots, les supplices, pour prier et chanter les Psaumes ensemble dans les "Assemblées", ces grandes pourvoyeuses des prisons et des galères!
Une assemblée surprise dans les Cévennes (1687)
Le lieutenant de
Viguier( officier de justice) de Saint-Germain-de-Calberte (Lozère) dresse le procès-verbal suivant:
"Du mardi 23 avril 1686. Ayant eu avis d'une assemblée aujourd'hui 22 de ce mois au fond de la rivière du Gardon en un lieu inaccessible où l'on ne peut
aller qu'un à un parmi des rochers et des précipices.... nous nous attachâmes à découvrir cette assemblée et à faire la capture du ministre.
Avec dix-huit soldats ( d'une garnison voisine), nous sommes partis de Saint-Germain à 9 heures du soir. Ayant marché trois heures dans l'obscurité, approchant de l'assemblée, les soldats furent
divisés en trois bandes. Et étant descendus par des rochers inaccessibles, nous, avec notre bande de neuf soldats, arrivés au pied de la montagne, nous découvrîmes diverses lampes à un
endroit
nomméLe Clauzelet, environné de rochers escarpés par le haut, et la rivière en bas, où nous aperçûmes plusieurs lampes , et petits feux, et
entendîmes prêcher le ministre à grande voix.... A douze pas de l'assemblée seraient venus à nous
sept à huit hommes, criant: Qui va là ? En même temps le ministre cessa de prêcher. Nous donnâmes tous ensemble, et
fut faite décharge par tous les soldats, nous étant mêlés avec les rebelles ; y ayant
eu parmi les rebelles des morts, des blessés, et des noyés ; Ayant fait prisonniers néanmoins quatre hommes et dix femmes.... Ayant trouvé sur une petite roche une planche de bois avec deux
serviettes, un plat plein de pain coupé en morceaux, du vin dans une bouteille de vin bouilli et une tasse, pour faire la Cène...".
Car la Parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu`une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu`à partager âme et esprit, jointures
et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du coeur. (Hébreux 4:12).
La Bible mise à la portée de tous est le plus grand bienfait qu'ait pu connaître la race humaine. Toute
atteinte contre elle est un crime contre l'humanité. Emmanuel Kant (1724-1804) Philosophe.
Que le monde progresse tant qu'il veut, que toutes les branches des connaissances humaines se développent au plus haut degré, rien ne remplace la Bible base de toute éducation.
Goethe (1749-1832) Savant et écrivain allemand.
Victor HUGO (Écrivain et homme politique).
Il n'y a qu'un Livre qui contient toute la sagesse humaine éclairée de toute la Sagesse Divine, un livre que la vénération des peuples appelle " le livre " : La Bible.
L'Évangile possède une vertu secrète, je ne sais quoi d'efficace et de chaleureux qui agit sur l'entendement et qui charme le coeur, l'Évangile n'est pas un livre : c'est un être vivant. Napoléon 1er .
Il n'y a qu'un livre qui mérite d'être appelé LE LIVRE: la Bible. Walter Scott, Ecrivain.
Martin Luther 1483-1546, réformateur. Christ est le Maître; Les Ecritures sont seulement le serviteur.
Jean Calvin 1509-1564, théologien de la Réforme. La Parole de Dieu n'est point pour nous apprendre à babiller, pour nous rendre éloquents et subtils mais pour réformer nos vies.
Rufus Choate 1799-1859, avocat et fondateur d'un parti politique aux États-Unis. Aucun avocat ne peut se permettre d'être ignorant à propos dela Bible.
William Jennings Bryan 1860-1925, 3 fois en nomination démocrate pour la présidence des États-Unis.
La Bible tient devant nous des idéaux qui sont à la portée du plus faible et abaissé, et cependant si élevés que les meilleurs et les plus nobles doivent garder leur regard vers le haut. Elle transporte l'appel du Sauveur dans les coins les plus reculés du monde; sur ces pages sont écrites les assurances du présent et notre espérance pour l'avenir.
Matthew Arnold 1822-1888 professeur de poésie pendant 10 ans à Oxford, critique littéraire et social très influent dont l'oeuvre a continué à former et provoquer des débats de nos jours. A la Bible les hommes retourneront, et pourquoi?Parce qu'ils ne peuvent fonctionner sans elle.
Combien misérables et méprisables sont les paroles de nos philosophes, avec toutes leurs contradictions, comparées aux Saintes Ecritures. Jean-Jacques Rousseau, Ecrivain philosophe, 1712-1778
Ta Parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur
mon sentirer.(Ps.119:105).
David roi d'Israël 1000 avant J.C.